• Bon, parlons peu, parlons bien.

    Je ne suis plus très motivée pour entretenir ce blog sachant que je n'ai jamais eu de retours... Il ne faut pas s'étonner que je me sois faite si rare ici étant donné que j'ai le sentiment de ne m'adresser qu'à moi-même en venant ici. Alors les p'tits loups, je songe de plus en plus sérieusement à lâcher l'affaire et tout bazarder. Ce n'est pas une option plaisante, mais si le blog n'intéresse personne, il n'y a pas d'utilité à le laisser en ligne. Quelque part, ce choix vous appartient autant (voire plus) qu'à moi.


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  • Si si, c'est vrai !

    Bon ok, qu'un poème pour le moment, mais c'est mieux que rien ! (beaucoup de points d'exclamation vous remarquerez...)

    En vrai j'ai eu un été disons "compliqué", je profite que les cours n'aient pas encore complètement repris pour laisser mon esprit divaguer à plus de minuit ~


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  • Si si, je suis encore en vie u.u La preuve, je vous présente un deuxième "essai" qui sent bon l'iode. N'hésitez pas à me donner votre avis sur cette nouvelle rubrique. Les commentaires sont le carburant de la motivation !


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  • Solitaire

    Les vagues qui lèchent la plage sont maintenant bien loin de moi. La marée s’en va, comme le soleil qui commence à disparaître à l’horizon. Je suis seule sur cette immense étendue de sable. Comme dans rêve. Mais peut-être en est-ce un ? Les couleurs qui irradient le ciel et se projettent sur l’eau ont un air irréel. C’est comme si le soleil était pris dans un prisme qui changeraient ses rayons en dizaines d’arc-en-ciel. J’enfonce mes mains dans mon manteau, l’air est froid maintenant. L’été est parti, lui aussi. Il a emporté les baigneurs, les amours fugaces et les rires des enfants. Ils reviendront, bien sûr, mais en attendant, tout est calme. Même la mer se recule et se roule sur elle-même pour mieux dormir. Le vent fait voler mes cheveux, mais je me fiche pas mal de quoi j’ai l’air, il n’y a que quelques oiseaux pour me voir. Avec la nuit qui arrive, je me résigne à rentrer. J’emprunte le petit chemin qui serpente le long de la côte. Je n’ai pas très envie de m’arracher au spectacle d’une nature aussi belle. Tout au long de ma marche solitaire, j’écoute le clapotis de l’eau sur les rochers et le vent qui vrille à mes oreilles. Même s’il fait froid maintenant, je ne me sens pas une envie pressante de retrouver le confort de l’intérieur. Tout me paraît si loin une fois derrière une vitre ! Alors, au bout de quinze bonnes minutes de marche, je m’arrête. Ma maison est là, je pourrais rentrer et me débarrasser de ce manteau encombrant, de ces bottes et de ces gants, mais non. Je sais qu’une fois dedans, je ne ressortirai plus avant demain. C’est bête d’ailleurs, demain, ce n’est pas loin, mais moi c’est maintenant que je vivre. Je lève le nez, guettant le voile de la nuit, mais il est encore trop tôt pour apercevoir des étoiles. Tant pis, je resterai bien assez des nuits entières à les contempler cet été. Je me résous à rentrer après un dernier regard à l’horizon, à la mer et au ciel, puis je passe la porte. Je renaîtrai demain, aux premières lueurs du soleil.


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  • Bon alors voilà, j'ai essayé d'écrire quelque chose d'un peu différent...

    Dîtes-moi si vous aimez, si vous êtes intéressé(e) pour en lire davantage ou si je devrais m'en tenir aux poèmes habituels

    Merchi !

    Lire la suite...


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